Une organisation des femmes du Grand Equateur ( Equateur, Nord-Ubangi, Sud-Ubangi, Mongala et Tshuapa) désapprouve tous les actes qui visent à déstabiliser les institutions de la République, particulièrement l’Assemblée nationale, dirigée par Jeanine Mabunda Lioko.
Pour ces femmes, les actes de violence et de vandalisme qui ont notamment été perpétrés au siège du Parlement par des individus bien identifiés et connus, ne sont pas de nature à favoriser la stabilité et le développement du pays.
Ainsi, elles invitent le Président de la République, Félix Tshisekedi, à protéger les institutions conformément aux prérogatives lui reconnues par la Constitution.
Par ailleurs, les femmes du Grand Equateur appellent les confessions religieuses à œuvrer pour la paix, en prodiguant des bons conseils aux autorités du pays et demandent à la justice de poursuivre les auteurs des discours haineux et tribunaux, qui mettent en mal l’unité nationale.
Dans la foulée, elles disent s’opposer aux pillages des biens publics et privés, tout en exhortant le peuple congolais à bannir toute forme de violence.
Cette structure des femmes du Grand Equateur réaffirme son soutien à la coalition au pouvoir (FCC-CACH) pour la stabilité de la République Démocratique du Congo (RDC).
Reagan Ndota