Encore une fois, la demande de mise en liberté provisoire sollicitée vendredi dernier par Vital Kamerhe a été rejetée lundi par la Cour d’appel de Kinshasa/Gombe.
Les avocats du Directeur de cabinet du chef de l’État espéraient bien voir leur client obtenir cette mesure mais malheureusement VK vient de subir le même sort réservé à ses 7 demandes au premier degré. La deuxième audience de son procès en appel a été fixée au 07 août 2020.
Acharnement et harcèlement politico-judiciaire. Dans les milieux de l’UNC, on dénonce cette justice aux ordres qui vise à éliminer à tout prix un adversaire politique.
Sachez que Vital Kamerhe a été condamné à 20 ans des travaux forcés et 10 ans d’inéligibilité pour avoir été reconnu coupable de détournement des fonds alloués au programme des 100 jours du chef de l’État, volet construction des maisons préfabriquées.
Landry Amisi