La sénatrice Francine Muyumba a accueilli favorablement l’appel lancé par le président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, à la réforme du Conseil de sécurité de l’ONU, dans son discours prononcé, mardi 22 septembre à la 75ème session de l’Assemblée générale de l’ONU qui se tient à New York, aux États-Unis, par visioconférence.
Pour l’ancienne présidente de l’Union Panafricaine de la Jeunesse (UPJ), c’est une position d’un digne futur président de l’Union africaine (UA) qui a rencontré les desiderata du peuple africain.
«En lançant l’appel à la réforme du Conseil de sécurité de l’ONU afin de le rendre plus transparent, démocratique et représentatif, le président de la République, Félix Tshisekedi soulève un besoin formulé par les Africains. Une position d’un digne futur président de l’Union africaine», s’est félicitée Mme Francine Muyumba.
Dans son intervention par visioconférence, Félix Tshisekedi a, une fois de plus, décrié l’injustice criante que subit le continent africain dans sa représentation tant au sein du Conseil de sécurité que dans les différentes organisations internationales qui composent le système des Nations unies.
Il sied de noter que le Conseil de sécurité est composé de 15 membres, 5 permanents (France, Etats-Unis, Grande-Bretagne, Chine, Russie) et 10 non-permanents, élus par l’Assemblée générale de l’ONU pour un mandat de 2 ans (Afrique du Sud, Allemagne, Belgique, Estonie, Indonésie, Niger, République Dominicaine, Saint Vincent et les Grenadines, Tunisie et Vietnam).
Reagan Ndota