Il s’est mis en position sur le starting bloc. José Endundo Bononge, le choix du grand Equateur, a déposé mardi sa candidature au poste de deuxième vice-président de la Chambre haute du Parlement.
L’ancien ministre de l’Environnement ambitionne, grace à son expérience et son expertise, de mettre fin aux crises entre le Sénat et les autres institutions de l’État, surtout les crises internes qui paralysent l’hémicycle.
Porté à tour de bras presque par l’ensemble des sénateurs issus du grand Équateur, le doyen José Endundo Bononge a rassuré à ses frères et soeurs qu’il sera toujours au service de la population.
«Je suis au service de tous les Équatoriens et nous n’avons aucun intérêt au regard de la situation que nous traversons aujourd’hui, de nous diviser», a rappelé le sage, indiquant qu’il lui revient, en tant que le plus âgé, de donner l’exemple.
«Le doyen, le plus âgé doit donner l’exemple… . Je m’engage à donner l’exemple de l’unité, de solidarité et de fraternité pour un grand Équateur mais également pour un grand Congo», a souligné José Endundo, le candidat deuxième vice-président désigné par les sénateurs du grand Équateur.
Pour le candidat de l’Union sacrée, il est clair que “quels que soient les problèmes qui peuvent surgir, le Sénat reste une institution qui a été mise en place pour permettre aux sénateurs d’apporter leur sagesse, leur perspicacité pour la solution des problèmes”.
Endundo reste formel. “Sa victoire, c’est la victoire de l’ensemble de sénateurs. Nous voulons aller de l’avant et permettre au Sénat de jouer pleinement son rôle et je m’y emploierai en tout cas en ce qui me concerne», a-t-il insisté.
L’élection des nouveaux membres du bureau du Sénat est prévue le 02 mars. Endundo attend apporter sa maturité pour la stabilité de la Chambre des élus des élus.
Landry Amisi
