Honoré Mulumba est victime d’une cabale et ses détracteurs l’en veulent.

Dans un article publié dans une certaine presse, le directeur général du Fonds forestier national (FFN) est accusé, sans preuve, de mégestion des ressources de la structure qui, du reste, n’est que de la fiction.

Ces allégations sans fondement dépassent les bornes. Et la réaction du cabinet du directeur est virulente. Il dénonce les hérésies d’une accusation qui contraste avec les réalités sur le terrain. Donc, il s’agit d’un chantage nauséabond.

“Le Fonds forestier national informe l’opinion publique qu’un article publié dans une certaine presse accusant le directeur général, Honoré Mulumba de gestion opaque des ressources de la structure et qu’à travers cet article, un tableau non traçable dans aucun livre de FFN, compare les rémunérations des membres de cabinet du DG aux frais de fonctionnement chimériques alloués aux antennes provinciales”, a-t-on appris dans un communiqué de presse.

Machiavélique et inhumaine, la stratégie de ces personnes malveillantes est désormais connue comme le loup blanc : “ternir le blason de Mulumba Kalala et le remplacé”. Terrible façon de chercher l’emploi, note un expert en environnement.

Plan dévoilé et commanditaires repérés, la direction du FFN met en garde ces personnes perfides et promet des poursuites en justice.

“Tout en se réservant le monopole de mettre sur la place publique les noms des personnes sus-visées, le Fonds forestier national rassure le public qu’en tant que pilier du reboisement en RDC, il ne cesse de financer les différents projets accompagnateurs du programme du chef de l’État, Félix Tshisekedi : Jardins scolaires, 1 milliard d’arbres à l’horizon 2023. Le programme est en cours de concrétisation au niveau de Kinshasa et dans les prochains avec le financement du FFN”, indique la même source.

Dans ce cadre, poursuit le communiqué, d’autres projets pilotes à Masisi (Nord-Kivu) et Kabare au (Sud-Kivu) financés par le Fonds forestier ont été bénéficiaires de plusieurs milliers de plantules mises en terre sur 8 hectares.

Pour dissiper tout malentendu, le FFN précise que le cabinet de son directeur général est composé de 9 membres, 4 agents commis aux services de protocole, sécurité et hygiène sanitaire Covid-19.

Ainsi, les agents du Fonds forestier national et le peuple congolais sont appelés à ne pas se laisser manipuler par les pêcheurs en eau trouble.

Mputu Patrick-marche