Dans une déclaration politique rendue publique le 8 août 2022, la plateforme chère à la députée nationale Henriette Wamu condamne avec fermeté les propos “excessifs et indignes” proférés par Jean Marc Kabund-A-Kabund à l’endroit du chef de l’État.

Après analyse minutieuse de la situation qui prévaut au sein de l’UDPS et Alliés ainsi que de l’Union sacrée de la nation, consécutive à la sortie médiatique ratée de Monsieur Jean Marc Kabund-A-Kabund, l’Alliance pour la Réforme de la République (A2R), dirigée par l’Honorable Henriette Wamu Ataminia, déplore et condamne avec force, les déclarations malencontreuses faites par le précité, à l’endroit de Son Excellence Monsieur Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, président de la République, chef de l’Etat. A cet effet, l’A2R considère que les mots excessifs et indignes d’un homme d’Etat ne devraient pas avoir de la place dans la communication des responsables politiques. Ils sont donc à bannir, déplore le leadership de la plateforme.

Abordant le dossier lié aux poursuites judiciaires engagées contre le premier vice-président déchu de la Chambre basse du Parlement, le regroupement politique de l’élue de la FUNA se remet à la justice pour la manifestation de la vérité.

“S’agissant des poursuites judiciaires engagées à charge de Monsieur Jean Marc Kabund-A-Kabund, I’A2R invite la justice à faire son travail en toute indépendance et impartialité afin que la vérité triomphe conformément à la loi”, souligne le document.

Pour finir, l’A2R appelle les membres de l’Union sacrée de la nation à rester soudés derrière le président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, afin de soutenir les actions menées par lui pour l’intérêt du peuple.

Au demeurant, l’A2R demande à tous les sociétaires de l’Union sacrée de la nation de resserrer les rangs et de consolider la cohésion nécessaire pour soutenir sans relâche, les actions salvatrices de Son Excellence Monsieur Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, président de la République, chef de l’Etat, a conclu l’A2R.

Après trois auditions, le nouveau procureur général près la Cour de cassation a décidé de placer mardi sous mandat d’arrêt provisoire, le député JM Kabund. Convoqué à deux reprises à l’Assemblée nationale, il avait refusé de se présenter pour y être entendu sur les allégations qui pèsent contre lui. L’ancien vice-président de l’Assemblee nationale accuse le bureau Mboso d’avoir violé la Constitution en le livrant à la justice sans que ses immunités parlementaires ne soient préalablement levées. Un argument que le speaker de la Chambre du Parlement avait balayé d’un revers de la main en évoquant les dispositions constitutionnelles quant à ce.